Souvenirs

Photo du prototype de la motrice 1320, Atelier de Cureghem, janvier 1967. Celle-ce deviendra par après la motrice 1501.

Les ordres de service et les avis au personnel ou au public nous permettent de revivre au jour le jour la vie du réseau de transport en commun bruxellois. Au fil des mois, nous parcourrons l’histoire du réseau. Voici ce qui a été publié le 5 décembre 1944 :

En février 1941, la motrice 3460 et sa remorque sont de service sur la ligne 74, place Rogier.

Depuis la politique de mobilité jusqu’à l’anecdote, la presse décrit au jour le jour la vie des transports bruxellois. Au fil des mois, nous parcourrons l’histoire des transports dans les journaux. Voici ce qu’on pouvait lire dans Gazette du 02/12/1928 :

Scène de la Toussaint 1961; la motrice 3380 (ligne 9) au départ de l’avenue du Silence.

Les ordres de service et les avis au personnel ou au public nous permettent de revivre au jour le jour la vie du réseau de transport en commun bruxellois. Au fil des mois, nous parcourrons l’histoire du réseau. Voici ce qui a été publié le 25 novembre 1944 :

La motrice 1310 emmène le peloton, place du Grand Sablon.

Depuis la politique de mobilité jusqu’à l’anecdote, la presse décrit au jour le jour la vie des transports bruxellois. Au fil des mois, nous parcourrons l’histoire des transports dans les journaux. Voici ce qu’on pouvait lire dans Le Messager de Bruxelles du 02/11/1939 :

L’heure du départ approche, ce 1er septembre 1952, pour la 3481 à la gare de Grand-Bigard.

Les ordres de service et les avis au personnel ou au public nous permettent de revivre au jour le jour la vie du réseau de transport en commun bruxellois. Au fil des mois, nous parcourrons l’histoire du réseau. Voici ce qui a été publié le 19 novembre 1941 :

La motrice 1270 sur la place Sainctelette, en mars 1967.

Depuis la politique de mobilité jusqu’à l’anecdote, la presse décrit au jour le jour la vie des transports bruxellois. Au fil des mois, nous parcourrons l’histoire des transports dans les journaux. Voici ce qu’on pouvait lire dans Le Peuple du 02/10/1933 :