Équipée d’une tour pour pouvoir accéder à la ligne aérienne, cette motrice était officiellement affectée au “graphitage” du fil de trolley, c’est-à-dire l’apposition d’une couche de graphite pour faciliter le glissement des roulettes via lesquelles les trams captaient le courant. Le remplacement systématique des roulettes par des frotteurs en… graphite, au début des années 1950, diminua sensiblement l’utilité de ce tram particulier.