Indissociables de l’image de Bruxelles pendant quatre décennies, les 685 motrices “standard” furent construites en moins de cinq ans dans les ateliers de la société de transport. Le processus de fabrication fortement industrialisé, basé sur la technique du pré-assemblage de sous-ensembles, permit de produire jusqu’à une motrice par jour ouvrable ! Après guerre, le confort de ces trams fut encore sensiblement amélioré grâce au placement de portes, de chauffage, et d’un poste fixe pour le receveur. La motrice 1002 est exposée dans son état “fin de service”.