Ce tram à l’allure faussement moderne résulte en fait de l’assemblage de deux châssis de motrices datant des années ’30, reliés entre eux par un élément central fabriqué « sur mesure » et habillés d’une nouvelle carrosserie. En réalisant ces transformations dans ses propres ateliers, la STIB a pu produire à faible coût une petite série de tramways de capacité identique à celle d’un convoi composé d’une motrice et d’une remorque, mais ne nécessitant plus qu’un seul receveur, voire même aucun lorsque le conducteur assurait lui-même la perception des titres de transport. Restés bruyants et peu confortables, ces véhicules hybrides ne connurent toutefois qu’une carrière relativement courte.
Aujourd'hui le musée est ouvert
de 13h à 18h30